Devlog #10 - Avril
- Splashteam
- il y a 2 jours
- 3 min de lecture
C’est la dixième édition du devlog du projet Acornia ! À la première édition, on vous parlait du donjon de la Ferme des Cimes. Cette fois-ci, on boucle la boucle en vous dévoilant le système d’élevage. Une page se tourne, et un nouveau chapitre commence. Il parle de création et d’artistes tourmentés…

Le lait ne pousse pas sur les branches du Grand Arbre, tout magique qu’il soit. Heureusement, Diego et Paco ne sont pas descendus du ciel les mains vides. Pour une somme modique, Alva peut acheter ses propres vaches, poules et abeilles. Et qu’est-ce qu’elles sont mignonnes !
La boutique ne semble pas être l’endroit le plus adapté pour élever ces petites bêtes. Notamment à cause de l’odeur…
Il est possible de reconstruire des plateformes d’élevages adaptées à chaque espèce.


Une fois nourri (avec l’aliment adapté !), l’animal, repu, gonfle comme un ballon et flotte paisiblement jusqu’à la fin de la journée.
Le lendemain, reconnaissant pour le festin, il laisse au sol les précieuses denrées : du lait pour les vaches, des œufs pour les poules, du miel pour les abeilles.
Oh, et une dernière chose. Les animaux peuvent survivre à quelques repas manqués mais il y a une limite. Personne n’a envie de découvrir ce qu’il se passe quand on la franchit…

Vous aimez découvrir de nouvelles recettes ? Le moins qu’on puisse dire, c’est que ça tombe bien. On est français, alors pour nous, la nourriture, c’est sacré. Pour satisfaire les gourmands et les collectionneurs, le jeu offre une quantité et une diversité de délices sucrés rarement vue dans un jeu. D’autant plus qu’on a souhaité représenter les spécialités du monde entier.

Les recettes de cuisine sont centrales au gameplay du jeu. Ce sont elles qui justifient l’existence des systèmes d’élevage et d’agriculture. Elles sont au cœur de la partie gestion, représentant la marchandise que la boutique propose. Mais elles ont également une importance primordiale dans le système de combat, où elles servent de munitions et d’objets de soin.
Prendre en considération tous ces aspects du jeu fait de l’équilibrage des recettes, de leurs ingrédients et de leurs modes d’obtention un challenge important.

Il faut constamment faire attention à ne pas sur-utiliser un fruit au risque de diminuer l’utilité de cultiver les autres, mais aussi prendre garde à ce que chaque recette ait son utilité. Le but n’est pas de débloquer la recette ultime et de terminer le jeu grâce à elle. Certaines recettes peuvent être plus intéressantes que d’autres, c’est aussi ce qui rend leur acquisition excitante. Mais elles ne doivent pas être une solution unique à toutes les situations.
On dispose de plusieurs leviers : faire en sorte que les habitants de l’Arbre aient leurs préférences, par exemple.
Dans un jeu comme Acornia avec autant de systèmes complexes imbriqués les uns avec les autres, ajuster une donnée quelque part peut avoir des conséquences inattendues ailleurs. Tout ça, c’est beaucoup de feuilles de calcul, de listes et de réflexion.
Mais le plus dur quand on travaille là-dessus, c’est que ça donne faim. TERRIBLEMENT faim.

Que deviennent les brouillons froissés, jetés à la poubelle ? Qu’advient-il des sculptures inachevées ?
La réponse à ses questions se trouve dans l’Atelier, le second donjon du jeu.

Le froissard est extrêmement fourbe. Cette petite canaille lance des boulettes de papier sur Alva et part en courant. Pas très dangereux, mais terriblement agaçant. Attrapez-le avant qu’il ne s’enfuit !

Le bustroc est une brute au cœur brisé. Incapable de gambader dans les champs, ce petit cochon inachevé n’hésite pas à écraser tout intrus avec son socle en plâtre. Il a le groin sensible, alors il les sent venir.



Juliette a suivi l’enseignement rigoureux de l’Académie et est une violoncelliste hors pair à la voix envoûtante. Lorsqu’elle entend qu’Archelle, son amie d’enfance, a besoin d’elle, elle n’hésite pas à voler à son secours.
Ses balades nocturnes et son teint pâle pourraient semer la confusion au village, dans lequel les rumeurs vont bon-train…


C’est tout pour le mois d’Avril ! Certains chantiers avancent, d’autres commencent. On vous réserve encore plein de surprises, alors merci de continuer à nous suivre.
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